Grâce à la victoire sans appel contre Birsfelden (33:26), l’objectif du maintien rn LNB reste possible !

 

Hitchcock n’aurait pas pu imaginer plus de suspense…  le scénario pour les deux dernières rencontres de la saison reste dans tous les cas extrêmement prometteur. Hier après-midi, l’équipe de Nicot/Molinié a au moins permis aux supporteurs du Chênois de passer un dimanche agréable dans une salle de Sous-Moulin chauffée à blanc au sens propre comme au figuré.

En effet, notre première équipe, présente dès la première seconde, a très vite mené au score. Un 4:0 s’affichait au tableau d’affichage après une entrée en matière réussie. L’avantage s’est progressivement creusé, et un score de +7 (18-11) scellait la première mi-temps. Le début de la seconde ressemblait en tout point à la première. Ensuite, quelques erreurs individuelles se glissaient dans le jeu. La fatigue et à la baisse de la concentration étaient probablement à l’origine de ces erreurs. Mais à la fin, la victoire était claire et sans appel.

La pause pascale est plus que la bienvenue afin de pouvoir recharger les batteries et continuer la préparation pour les deux derniers matches capitaux. En même temps, l’équipe devra réussir à garder son élan positif des derniers matches. Il y a donc du travail pour le duo d’entraîneurs.

La situation se dessine désormais comme suit :

• Si Chênois devait gagner les deux derniers matches, le maintien serait assuré, indépendamment des résultats de Siggenthal et de Yellow/Pfadi Espoirs. Cela signifie qu’il faut non seulement réussir à battre Siggenthal à la maison mais aussi et tout d’abord réussir l’exploit et battre le deuxième du championnat à l’extérieure!

• Si Chênois devait perdre contre Stäfa, il faudrait espérer que Birsfelden bat Siggenthal. Dans ce cas-là, il y aura une vraie finale Hitchcockienne le 26 avril à Sous-Moulin pour le choc Chênois-Siggenthal.

• Finalement, Chênois est également sauvé si Yellow/Pfadi Espors devait perdre ses deux matches et que Chênois récolte 3 points.

 

Lors de toute la seconde moitié de saison, nous avons insisté sur une « mission impossible qui deviendrait possible » ou de « Yes we can » et de « Vivons nos buts ». Ce ne sont pas que des slogans, c’est bien ce que l’équipe a réussi à accomplir… se donner la chance et la possibilité d’y croire encore. La balle est maintenant dans notre camp. Le bilan sera bel et bien fait après la dernière seconde de jeu, lors de la dernière rencontre.

 

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